Le contrôle du trafic des animaux revêt d’une grande importance, d’une part pour lutter efficacement contre les épizooties et d’autre part pour garantir la sécurité des denrées alimentaires d’origine animale.
C’est pourquoi, le Conseil fédéral a décidé d’étendre la pose de marques auriculaires aux ovins et caprins ainsi que l’obligation de notifier certaines informations dans la Banque de données sur le trafic des animaux (BDTA) par les détentrices et détenteurs d’animaux, à partir du 1er janvier 2020.
La BDTA recense également d’autres animaux de rente comme les bovins et les équidés.